26/02/2007 : Actualités People !!!

Angelina Jolie et Brad Pitt futurs parents d'un petit Vietnamien ?








Il semblerait que les deux acteurs aient rempli des formulaires d'adoption en faveur d'un petit garçon vietnamien.
Angelina Jolie et Brad Pitt qui vivent déjà avec leurs trois enfants, Maddox (5 ans), Zahara (2 ans) et Shiloh (9 mois), ne cachent pas leur désir de fonder une grande famille, avec des enfants de nationalités multiples.
D'après une source vietnamienne, reprise dans le magazineUs Weekly, les deux acteurs se seraient rendus au service américain de citoyenneté et de l'immigration et y auraient rempli tous les papiers nécessaires à une demande d'adoption. Le petit garçon, dont on ne connaît pas encore le prénom, vit à l'orphelinat de Tam Binh situé dans la ville de Ho Chi Minh. Angelina Jolie et Brad Pitt avaient visité ce même lieu en novembre dernier.

Britney Spears pourrait bien perdre ses enfants








La star, très célèbre ces jours-ci pour ses écarts de conduite, est anéantie par la demande de garde en urgence de Kevin Federline.
Britney Spears, qui vit une véritable tragédie personnelle et semble perdre la tête au point d'ailleurs de se l'être rasée, n'est pas au bout de ses peines. Les magazines multiplient les interviews de personnes affirmant qu'elle se drogue depuis longtemps, alors qu'elle vient de ressortir d'un centre de désintoxication un jour seulement après y être entrée...
Certains de ses amis craindraient même qu'elle ne porte atteinte à sa vie. Son ex-mari, s'inquiétant pour leurs deux fils, vient de lui donner le coup de grâce en demandant une action de justice en urgence pour récupérer la garde de Sean Preston, 17 mois, et Jayden James, 5 mois.

Hugh Grant n'ira finalement pas au mariage d'Elizabeth Hurley








L'acteur vient de démentir qu'il se rendrait au mariage de son ex Elizabeth Hurley, qui aura lieu le 3 mars prochain.
Après avoir formé l'un des couples les plus célèbres d'Angleterre pendant plus de 13 ans, Hugh Grant et l'actrice avaient finalement rompu en 2001. L'acteur qui est de nouveau célibataire, puisqu'il s'est séparé la semaine dernière du mannequin Jemina Khan après trois ans de liaison, ne tient pas à assister au mariage pour autant.
D'après l'agent de la star, le doute n'est pas permis : "Hugh ne compte pas se rendre au mariage d'Elizabeth. Il n'a pas été invité et il n'y a rien d'étrange à cela, ni d'amertume à voir dans sa décision."

Kad, César du meilleur second rôle








Les Césars ont eu lieu ce samedi et l'humoriste et acteur a été récompensé pour son rôle dans Je vais bien, ne t'en fais pas.
Kad Merad confie au Parisien à propos de son César du meilleur acteur dans un second rôle : "J'aurais été extrêmement déçu de ne pas l'avoir. Vraiment. Parce que cela ne se reproduit pas tous les ans. Je me souviens que, pour Les Choristes, Gérard Jugnot ne l'avait pas obtenu. J'étais auprès de lui, et j'imaginais ce qu'il pouvait ressentir. Pour le reste, c'est effectivement un contre-emploi dans ma carrière, où, pour le moment, on m'a plutôt vu dans des comédies."
Celle qui joue sa fille dans le film, Mélanie Laurent, a quant à elle reçu le César du meilleur espoir féminin. Le César du meilleur film est revenu à Lady Chatterly, celui du meilleur réalisateur à Guillaume Canet (Ne le dis à personne), meilleur acteur : François Cluzet (Ne le dis à personne), meilleure actrice : Marina Hands (Lady Chatterly), meilleure actrice dans un second rôle : Valérie Lemercier (Fauteuils d'orchestre), meilleur espoir masculin : Malik Zidi (Les Amitiés maléfiques) et meilleur premier film : Je vous trouve très beau d'Isabelle Mergault, absente pour cause de rage de dents ! Le beau Jude Law, présent pour l'occasion, a quant à lui reçu un César d'honneur.

L'animateur de télévision Jean-Luc Delarue est sorti de garde à vue


Jean-Luc Delarue lors d'une rencontre-débat avec les téléspectateurs, le 17 mars 2006 à Lille


L'animateur de télévision Jean-Luc Delarue a quitté les locaux de la police aux frontières (PAF) de l'aéroport de Roissy dimanche après-midi après y avoir été entendu près de neuf heures sous le régime de la garde à vue, a-t-on appris de source aéroportuaire.

M. Delarue a été appréhendé par la police à sa descente d'un avion en provenance de Johannesburg (Afrique du Sud) dimanche matin vers 6h30 pour s'expliquer sur des violences présumées commises à l'encontre d'hôtesses et stewards lors d'un vol Paris-Johannesburg d'Air France le 13 février, a-t-on appris de même source.

Dans l'immédiat, cette source n'était pas en mesure de préciser si le parquet de Bobigny entamerait des poursuites judiciaires contre l'animateur de France 2. Si c'était le cas, M. Delarue pourrait se voir remettre une convocation prochaine devant le tribunal correctionnel de Bobigny, selon la même source aéroportuaire.

Le 16 février, trois plaintes ont été déposées à l'encontre de Jean-Luc Delarue pour violences et insultes par des personnels navigants d'Air France qui l'accusent d'avoir eu un comportement "agressif et injurieux" à leur encontre sur un vol Paris-Johannesburg trois jours avant.

De source aéroportuaire et judiciaire, M. Delarue, qui voyageait en première classe, se trouvait en état d'ébriété au moment des faits et refusait de cesser de boire malgré les demandes du personnel.
Air France avait évoqué un "incident sérieux" qui a obligé le personnel navigant à user de "liens de contention" - des menottes - pour attacher l'animateur de télévision et l'empêcher de perturber le vol.

Jean-Luc Delarue aurait notamment insulté, mordu et donné une claque à un steward, selon Pierre Destuguès, délégué syndical (Alliance PNC) qui a été en contact avec les personnels navigants du vol.

Une hôtesse s'est aussi plainte d'attouchements au ventre et à la poitrine, selon une source judiciaire.

Sharon Stone et "Basic Instinct 2" gagnent les "Razzies", parodie des Oscars


L'actrice américaine Sharon Stone, le 12 février 2007 au Festival de Berlin


Le film "Basic Instinct 2" et son actrice vedette Sharon Stone ont remporté samedi quatre "Razzies", parodie des Oscars distinguant les pires acteurs et longs métrages de l'année passée, ont annoncé les organisateurs des prix les moins convoités de Hollywood.

Sharon Stone, 48 ans, a obtenu le "Razzie" de la pire actrice tandis que "Basic Instinct 2", suite du film qui avait métamorphosé la comédienne en star sulfureuse en 1992, a remporté les trophées du pire film, de la pire suite et du pire scénario.

Loin du succès du premier opus, "Basic Instinct 2" a été cloué au pilori par la critique et n'a recueilli que six millions de dollars au box-office nord-américain en 2006.

Forte de 757 membres, la "Fondation des framboises d'or", qui remet depuis 1980 ces trophées à la veille des Oscars, a également "distingué" Shawn et Marlon Wayans, peu connus en dehors des Etats-Unis. Ces deux frères se partagent le prix du pire acteur pour "Little Man", un film qui reçoit aussi les "Razzies" du pire couple à l'écran et du pire "remake ou escroquerie".

Le réalisateur Night Shyamalan obtient quant à lui deux Razzies pour son film "La jeune fille de l'eau", rare échec en salles d'un auteur prodige ("Le sixième sens", "Signes", "Le village"...). Il reçoit le prix du pire metteur en scène et du pire acteur dans un second rôle.

C'est l'ancienne naïade de la série "Alerte à Malibu" Carmen Electra qui obtient le "Razzie" de la pire actrice dans un second rôle, tandis que Robin Williams et son "Camping car" inaugurent une nouvelle catégorie destinée à "célébrer les vedettes que nous ne pouvons plus supporter", celle du "pire divertissement familial".

Les trophées consistent en une fausse framboise de la taille d'une balle de golf posée sur une bobine de film Super 8, le tout peint en jaune doré et d'une valeur de 4,97 dollars. Contrairement aux Oscars qui attirent le gotha de Hollywood, les sélectionnés aux "Razzies" effectuent rarement le déplacement.

Zidane rechausse les crampons et marque devant 10.000 admirateurs thaïlandais


Zinédine Zidane lors d'un match de bienfaisance à Chiang Mai dans le nord de la Thaïlande, le 24 février 2007


Des milliers d'admirateurs de Zinédine Zidane se sont rassemblés samedi à Chiang Mai (nord de la Thaïlande) pour voir l'ex-meneur de jeu français rechausser les crampons et marquer un but lors d'un match de bienfaisance en faveur de jeunes atteints du sida.

"Le sport aujourd'hui, et même la vie, ce doit être plus qu'un match", a déclaré le footballeur qui s'exprimait en français lors d'une conférence de presse avant la rencontre.

Inscrivant "la charité" parmi ses nouvelles occupations, Zidane a dit qu'il était important désormais pour lui de "partager du temps avec ces enfants" et d'"essayer de faire certaines choses qui puissent apporter du bonheur aux gens".

"J'ai eu une carrière de 17 ans de footballeur qui a été assez pleine, extraordinaire, et aujourd'hui, c'est une nouvelle vie qui commence, quelque chose d'autre", a-t-il expliqué en soulignant vouloir "prendre du temps".

Interrogé sur le football asiatique, il a estimé que celui-ci était en train de "faire un grand pas en avant" avec la présence de joueurs, comme le Japonais Shunsuke Nakamura (Celtic Glasgow), dans de grands clubs européens.

Alors qu'on lui demandait qui étaient les jeunes talents de l'équipe de France, Zidane a répondu avec un sourire: "ils ne sont pas encore en équipe de France". Et il a cité Samir Nasri (Olympique de Marseille), Yoann Gourcuff (AC Milan) et Karim Benzema (Olympique lyonnais) comme des "joueurs d'avenir", susceptibles d'intégrer l'équipe nationale.


L'ex-star du football Zinédine Zidane et des fans à Chiang Mai, au nord de la Thaïlande, le 24 février 2007


Pendant ce temps, plus de 10.000 personnes se rassemblaient au stade municipal de la ville de Chiang Mai pour voir "Zizou" jouer au football.
"C'est la chance d'une vie de voir une superstar", a dit Tirada Haengkoat, étudiante de 20 ans, qui a fait la queue pendant six heures pour accéder gratuitement au stade.

"J'adore Zidane, c'est mon héros", a surenchéri Ittiphol Buachom, adolescent de 13 ans, avant le match auquel ont participé, outre Zidane, des joueurs vedettes d'Asie du Sud-Est, dont la star du football thaï Piyapong Pue-On, ainsi que son compatriote Kiatisak Senamuang, surnommé Zico.

Le coup d'envoi a été donné à 16h15 (09h15 GMT). Et Zidane a marqué le premier but, à la 36e minute, en lobant le gardien à proximité de la cage avant d'être à l'origine du second but avec une passe à un joueur malaisien.

L'ancien capitaine français est resté sur le terrain pendant la totalité de la première mi-temps et 13 minutes de la seconde. Son équipe a finalement concédé un nul (2-2).

Des dons, collectés à l'occasion du match, seront reversés à la fondation Keuydaroon qui aide quelque 440 enfants porteurs du VIH à Chiang Mai.
L'un d'eux, Ton, 11 ans, tenait la main de Zidane lorsque le footballeur est entré sur le terrain sous les acclamations du public.

"Zidane m'inspire pour devenir footballeur professionnel. Je veux devenir comme lui", a dit Ton.

Bien que les équipes d'Asie du Sud-Est ne figurent pas parmi les meilleures du monde, le football est très apprécié dans la région et fait l'objet de nombreux paris, parfois très élevés, comme ce fut le cas lors du dernier Mondial.

Zidane était arrivé en famille lundi dernier à Bangkok où il avait notamment assisté à un match de boxe thaï.

Ses déplacements en novembre au Bangladesh et en décembre en Algérie avaient déjà attiré des foules.

L'appétit des médias américains pour les célébrités semble sans limite


La chanteuse Britney Spears, le crâne rasé, à Los Angeles le 17 février 2007


La bataille autour de la dépouille de la starlette Anna Nicole Smith et l'entrée en cure de désintoxication de Britney Spears ont encore montré l'appétit insatiable des médias américains pour les célébrités, même dans leurs moments les plus tragiques, notent des experts.

Depuis la mort de Smith, ex-mannequin de Playboy, le 8 février à 39 ans en Floride (sud-est), les télévisions et magazines ont exploré tous les angles de la vie de cette personnalité extravertie. Ses proches se disputaient sa dépouille devant un juge qui a lui-même qualifié l'affaire de "cirque", alors que son tribunal était assiégé par la presse.

Le père, le garde du corps, le chauffeur et jusqu'à la soeur de l'avocat et compagnon de Smith ont été interrogés sur les grandes chaînes. L'ancien procureur Nancy Grace, pasionaria de la justice sur CNN, a consacré toutes ses émissions quotidiennes à l'affaire depuis deux semaines.
Même hystérie autour de l'entrée de Britney Spears en cure de désintoxication: dès la nouvelle connue, des paparazzi ont loué des hélicoptères pour tenter d'apercevoir la chanteuse de 25 ans, tête rasée, dans l'enceinte du centre où elle est soignée pour une raison inconnue.
"Il existe de nombreux facteurs combinés qui expliquent pourquoi ces événements sont aussi irrésistibles. L'un est que les nouvelles sont actuellement très déprimantes", explique Jake Halpern, auteur du récent livre "Fame Junkies", consacré à l'accoutumance du public américain aux célébrités.

L'ouvrage souligne que la presse magazine "people" américaine a connu depuis 2000 une croissance de ses ventes de 18,7%, tandis que des hebdomadaires "sérieux" comme Newsweek, Time ou The New Yorker n'ont progressé que de 2%.


Message en hommage à la starlette Anna Nicole Smith le 23 février 2007 à Dania Beach en Floride où son corps est conservé avant inhumation aux Bahamas


"L'autre facteur est qu'avec la concurrence du satellite et du câble, les informations télévisées ont peur de perdre de l'audience et se tournent vers le plus petit dénominateur commun", explique M. Halpern.

Pour lui, "ce n'est pas surprenant de voir CNN couvrir largement les conférences de presse de l'avocat d'Anna Nicole Smith. Ils ont peur de perdre des téléspectateurs au profit de MSNBC ou de Fox News", autres chaînes d'information en continu.

M. Halpern n'hésite pas à comparer les informations sur les célébrités à "des métastases" qui "se sont propagées aux médias généralistes. Ces informations sont partout, et même si l'on n'a pas envie d'y faire attention, nous en sommes quasiment gavés de force".

"A chaque fois qu'un magazine de célébrités est lancé, ses ventes décollent. On dirait qu'il n'y a pas de point de saturation", constate pour sa part Robert Thompson, professeur à l'université de Syracuse (est), spécialiste de la culture populaire et des médias.

"Je pense que les hommes de Neandertal étaient déjà obsédés par l'homme de Neandertal le plus populaire de la tribu (...) mais aujourd'hui, le nombre de médias parlant de ce sujet a explosé. En 1975, on pouvait rester une journée sans apprendre quelque chose sur les célébrités. Maintenant, c'est impossible", dit-il.

"Les médias ont tartiné à l'excès sur Anna Nicole Smith, CNN, Fox et MSNBC devraient avoir honte de lui avoir consacré des heures de couverture. Mais cela reste une histoire intéressante", concède l'universitaire.

Quant à Britney Spears, "elle est surtout connue pour les ragots. General Motors fait des voitures, la MGM fait des films, Britney Spears produit des ragots. On se demande si ce n'est pas comme ça qu'elle continue à exister", plaisante-t-il.

Pourtant, il reste possible d'être très connu sans se faire harceler par les médias, assure M. Thompson. "Regardez Tom Hanks. Il a gagné plusieurs Oscars, c'est une grande star, mais comme producteur de ragots il ne vaut pas un clou".

"Il y aura peut-être un moment où les gens seront tellement dégoûtés qu'ils ne voudront plus voir" de célébrités, soupire M. Halpern. "Mais nous en sommes encore loin".

La version policière de l'interpellation d'Eunice Barber remise en cause


Eunice Barber, le 24 mars 2006 Paris lors d'une conférence de presse, quelques jours après son interpellation


Dix jours après la révélation de la mise en examen d'Eunice Barber, dont l'interpellation avait défrayé la chronique en mars 2006, l'affaire a rebondi vendredi avec la remise en cause, par la commission nationale de déontologie de la sécurité, de la version policière.

La Commission "s'interroge sur la réalité de la résistance physique dont Eunice Barber a fait preuve lors de son interpellation". "Il est difficilement croyable que Mademoiselle Eunice Barber, certes athlète de haut niveau, ait pu ainsi tenir tête à plusieurs fonctionnaires (ndlr: 4 selon le rapport)", affirme cette autorité administrative indépendante.

En clair, la commission estime peu crédible que les policiers "n'auraient eu comme seule possibilité que de la neutraliser en la menant au sol, et en la transportant à plat ventre dans le fourgon jusqu'au commissariat local, maintenue ainsi plaquée par deux fonctionnaires, sauf à mettre en cause l'efficacité des gestes techniques professionnels d'intervention tels qu'enseignés dans les écoles de Police".

Le 18 mars, l'athlète avait été interpellée au volant de sa voiture, aux abords du Stade de France, à Saint-Denis. Les versions divergent à propos des conditions de son interpellation. Deux informations judiciaires ont été ouvertes dans cette affaire.

La première, à la demande du parquet, visait la double championne du monde (heptathlon 1999, longueur 2003) âgée de 32 ans pour "refus d'obtempérer", "mise en danger de la vie d'autrui", "outrages" et "violences" sur agents.

Une seconde information, visant cette fois les policiers, avait été ouverte pour "violences volontaires aggravées, menaces et violation du secret de l'enquête", après la plainte avec constitution de partie civile déposée par Eunice Barber.

L'avis et les recommandations de la la commission viennent donc à point nommé pour l'athlète dont la mise en examen en novembre a été révélée par "L'Equipe" et dévoilée ces derniers jours dans la presse. Barber, dont l'affaire devrait être renvoyée devant le tribunal correctionnel de Bobigny, a été mise en examen notamment pour "refus d'obtempérer", "outrages", et "rébellion".

Eunice Barber a d'ailleurs exprimé "sa satisfaction qu'une autorité indépendante, au terme d'une enquête complète, ait souligné le caractère peu crédible de certaines accusations formulées à son encontre".
Selon elle, "les conditions de son interpellation (notamment de son menottage et de son transport) sont contraires au respect de la dignité humaine et à la réglementation applicable".

Malgré sa mise en examen, l'athlète a de plus souligné "son entière confiance dans l'autorité judiciaire".

Créée en juin 2000, la Commission nationale de déontologie de la sécurité, saisie dans cette affaire par le député de la Loire François Rochebloine (UDF), est une autorité administrative indépendante. Elle est chargée de veiller au respect de la déontologie par les personnes exerçant des activités de sécurité sur le territoire de la République.

"La Commission n'est ni un tribunal, ni un conseil de discipline, elle souhaite être un lieu de recours et de contrôle", explique-t-elle sur son site internet.