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 le cannabis

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MessageSujet: le cannabis   le cannabis Horloge017pvMar 9 Jan - 9:18

Bonjour ,

comme certains le savent je souffre du dos
c'ets très dur et c'est constant depuis 6 ans maintenant
je vois des spécialiste centre anti douleurs ect...

mais rien ni fait

en fesant des recherche sur le net j'ai lu quelques trucs sur le cannabis

je voulais vous les faire partager et avoir votre avis

Attention il ne sagit pas de faire de la pub pour des drogues
ou pour vous incité a en prendre


pour commencer ce que j'ai trouver concernant le traitement de douleur

Pharmacologie
Bien que la principale substance psychoactive contenue dans le cannabis soit le THC, cette plante contient environ soixante cannabinoïdes au total dont le bêta-cannabisol (ß-CAL). La complexité de ce mélange a conduit à spéculer sur la cause de la différence entre les effets de la plante et le dronabinol de synthèse.
Dans l'organisme, le THC se dégrade en cannabinoïdes dont le cannabidiol (CBD) et le cannabinol (CBN).

Il existe deux types de récepteurs de cannabinoïdes (découverts au début des années 1990 ) :

* CB1 : se trouve dans l'hippocampe, le cortex associatif, le cervelet et les ganglions de la base.
* CB2 : se trouve dans certaines parties du système immunitaire, dont la rate.

Les études effectuées jusqu’ici semblent confirmer que ces récepteurs peuvent agir sur certains processus neurophysiologiques au niveau du cerveau.
L'herbe sauvage de cannabis contient habituellement entre 0,5 et 5 % de THC dans les parties sommitales femelles à maturité. La sélection variétale et l'évolution des techniques de culture (telles que la culture hydroponique ainsi que la transgenèse) ont produit des variétés titrant jusqu'à 25 % de THC. La teneur en THC est aussi affectée par le sexe de la plante : la plante femelle produit des fleurs contenant plus de THC que son homologue mâle. La sinsemilla (de l'espagnol signifiant « sans graine ») est une plante femelle non fécondée par du pollen et a un rendement plus élevé que l'herbe grainée. Les cultures à visées thérapeutique et récréative ont généralement une haute teneur en THC ; à l'inverse, les cultures réservées à l'industrie ont une faible teneur en THC.


1er médicament au cannabis
CANADA - SANTÉ - ANTI-DOULEUR
Le Sativex® : premier médicament au cannabis - Dimanche, 16 Janvier 2005 - 21:36 - INFO-NEWS
Les autorités sanitaires officielles du Canada ont délivré un avis de conformité pour le Sativex®, le premier médicament anti-douleur à base de cannabis.
Bientôt, le Sativex®, (nom décliné à partir de Sativa, une variété de marijuana) pourrait être vendu légalement au Canada. La firme anglaise GW Pharmaceuticals, qui a inventé ce produit, a indiqué, mardi, avoir obtenu un avis de conformité de l’agence Santé Canada pour l’utilisation de ce médicament dans le traitement de la douleur des patients atteints de sclérose en plaque. La première étape avant la commercialisation du médicament au cannabis outre-Atlantique a donc été franchie , pour la première fois au monde. L’autorisation définitive pourrait intervenir dans les prochains mois d’après la firme britannique.
Composé de deux principes actifs du cannabis, le tétrahydrocannabinol (THC) et le cannabidiol (CBD), le Sativex®, est destiné aux 50.000 personnes souffrant de sclérose en plaque (SEP) au Canada. Dans 80% des cas, la maladie provoque d’intenses douleurs. Or le Sativex® a prouvé son efficacité dans la diminution de la douleur chez la majorité des malades et le médicament est reconnu par la communauté scientifique.
Les agences sanitaires françaises vont-elles arriver un jour aux mêmes conclusions que leurs homologues canadiennes ? Si c’était le cas, le spray à base de haschisch pourrait un jour faire partie des médicaments commercialisés en France.
Mais l’arrivée sur le marché de cannabis sous forme de médicament se heurte à la sphère politique. Si en France, le cannabis reste une drogue interdite, au Canada, l’usage du cannabis à des fins thérapeutiques est autorisée depuis juillet 2003 pour les patients souffrant de maladies graves.
La question en France est : "A-t-on le droit-on laisser souffrir les malades neurologiques, vivant dans des conditions atroces, alors même que la torture est condamnable ?".



Cannabis thérapeutique
De nombreux États autorisent l'usage du cannabis thérapeutique : Suisse, Belgique, Australie, Canada, Pays-Bas, Grande-Bretagne, Nouvelle-Zélande, Espagne, ou encore certains États américains (Californie, Arizona, Alaska, Hawaï, Maine, Nevada, Oregon, Washington).

Le cannabis ne soigne pas mais permet de soulager les effets secondaires, de la maladie ou du traitement. Les recherches pharmaceutiques ont permis de montrer qu'il est possible d’annuler l’effet psychoactif tout en préservant l’intégralité des effets thérapeutiques.

Le cannabis existe sous plusieurs formes médicales :

* Marinol (dronabitol) : prescrit pour les traitements des nausées et des vomissements liés à la chimiothérapie, ainsi que pour stimuler l'appétit chez les malades du sida ;
* Cesamet (Nabilone) : prescrit pour les traitements des nausées et des vomissements liés à la chimiothérapie ;
* Sativex : prescrit comme anti-douleur pour la sclérose en plaques.

Il peut aussi être prescrit à l'état naturel afin d'être consommé en tisane ou par inhalation de vapeur de THC sublimé, là encore sa prescription la plus courante reste relative aux malades en phase terminale.

De nombreuses études - plus ou moins significatives - existent ou sont en cours sur ses qualités thérapeutiques.

* Il est question de propriétés :
o analgésiques : malades en phase terminale et pour les douleurs chroniques résistantes aux traitements traditionnels ;
o relaxantes et somnifères : malades en phase terminale ;
o anti-spasmodiques : sclérose en plaque, épilepsie ;
o anti-vomitives : traitement des effets secondaires de la chimiothérapie ou d'autres traitements lourds ;
o stimulant l'appétit et redonnant du plaisir à manger : lutte contre cachexie (maigreur extrême) et favorise la prise de poids ;
o broncho-dilatatrices : asthme ;
o vaso-dilatatrices : glaucome.
* D'autres études suggèrent que le cannabis pourrait être :
o une alternative efficace pour le prurit cholostatique réfractaire ;
o un agent thérapeutique contre des maladies neuro-dégénératives et la dystonie (perturbation du tonus musculaire) tels que la maladie de Parkinson ou le syndrôme de Gilles de la Tourette ;
o un agent anti-prolifératif : rémission de tumeurs cancéreuses au cerveau (ainsi que ralentissement de la progression de certains cancers du poumon, sein et de la leucémie) ;
o un agent inhibant les sécrétion d'acide gastrique et avoir un rôle favorable sur les ulcères ;
o un agent améliorant les troubles comportementaux des patients atteint de la maladie d'Alzheimer
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MessageSujet: Re: le cannabis   le cannabis Horloge017pvMar 9 Jan - 9:21

moi perso quand je vois tout ce que le cannabis peut apporter de bien

jene comprends pas que ça soit pas légélisé

moi qui vit tous les jours avec la douleur

douleur chronique et les médoc ne font plu rien depuis bien longtemps

qui en pense quoi?

merci
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MessageSujet: Re: le cannabis   le cannabis Horloge017pvMar 9 Jan - 9:22

Quelques autres infos

Effets du cannabis
Le cannabis est une substance psychoactive ou psychotrope, c'est-à-dire qu'elle affecte l'esprit et la volonté.

Selon le mode de prise, les effets commencent à apparaître à partir de 10 à 20 secondes après l'inhalation, d'une demi-heure à plusieurs heures après l'ingestion.

Physiologiquement, le THC se fixe dans les tissus graisseux et a une demi-vie de trois à quatre jours.

Les effets recherchés sont un sentiment de douceur, de calme intérieur et de bien-être, une tendance à rire, une prise de recul sur l'environnement.

Cependant, ces effets recherchés peuvent aussi traduire un mal-être psychique - parfois insoupçonné - et se transformer en paranoïa, crises d'angoisse, nausées, sentiment d'oppression ; particulièrement si le cannabis est utilisé en combinaison avec l'alcool.

Des doses plus fortes peuvent induire une augmentation de la perception auditive et visuelle, qui peuvent engendrer des hallucinations et conduire jusqu'au bad trip.

D'une manière générale, les effets varient en intensité et en durée en fonction du mode de prise et du taux de THC ainsi que du sujet et de son état physique.

À court terme, les yeux sont rougis, la bouche est sèche, les battements cardiaques accélèrent, un fréquent sentiment de « fringale » apparaît et des pertes de la mémoire à court terme sont usuels. Il est maintenant scientifiquement prouvé que les troubles de la mémoire disparaissent quelque temps après l'arrêt de la consommation.

À moyen terme, s'installent parfois démotivation, sous-estime de soi, intempérance voire dépression et tendances suicidaires. Il existe une corrélation entre l'usage prolongé du cannabis et dépression chez certains patients ainsi que l'aggravation des troubles mentaux (notamment la schizophrénie).

Une faible dépendance physique existe mais elle n'est généralement pas perçue comme addictive, du fait du faible taux d'accoutumance. Des cas de dépendance psychologique ont été constatés.

À long terme, même si les effets ont encore besoin d'être étudiés, on cite cependant des affections durables des voies respiratoires - cancer du poumon, gorge, langue - problèmes liés aux produits de coupe présents dans la résine et au principe d'inhalation de fumée, par définition produit de la combustion - suie, cendre - et sa température élevée à son entrée dans les voies respiratoires. La médecine utilise d'ailleurs un procédé de sublimation du THC pour soigner des patients afin qu'ils ne respirent pas de fumée mais juste la vapeur de THC. Il est aussi question d'une baisse de la fécondité chez l'homme et les effets du cannabis sur le fœtus sont à peu près équivalents à ceux du tabagisme : bébé de petit poids, naissance avant terme.

Aucune surdose due au cannabis n'a été enregistrée en deux millénaires d'histoire médicale et c'est ce qui contribue le plus à sa réputation de « drogue douce ». La dose létale estimée du cannabis est de 20 000 à 40 000 fois le niveau d'une dose normale. En comparaison, les médicaments les plus prescrits ont une dose létale autour de 10 fois la dose normale. Une étude a montré qu'il faudrait administrer 681 kilogrammes de cannabis en 15 minutes pour atteindre la dose létale.

Le dépistage s'effectue par prélèvement salivaire, test urinaire, prélèvement sanguin ou prélèvement de la sueur.


Histoire
L'origine géographique du cannabis n'est pas certaine : plaines de l'Asie centrale dans le secteur du lac Baïkal pour certains, région moyenne du fleuve Jaune en Chine pour d'autres, ou encore contreforts indiens de l'Himalaya. Les plus anciennes traces archéologiques de son utilisation par l'homme ont été retrouvées en Chine, dans l'un des foyers de la révolution agricole néolithique. Les fouilles du site néolithique de Xianrendong (dans le Jiangxi, daté de 8000 av. J.-C. ont ainsi livré de la céramique, certains pots décorés de fibres spiralées de chanvre.

La plus ancienne tradition d'un usage médical du chanvre semble également chinoise : la plante fait partie des trois cent soixante-cinq remèdes d'origine végétale décrits dans le plus vieux traité de pharmacopée de l'humanité retrouvé à ce jour. Le Shen Nung Ben Cao jing (Traité des plantes médicinales de l'empereur Shen Nung), 2737 av. J.-C. ne donne pas d'indication thérapeutique précise, du moins dans sa version originelle : antalgique, anti-émétique, laxatif... Il est amusant de noter que c'est à ce même empereur Shen Nung que la légende attribue la découverte d'une autre plante psychotrope dont l'usage est aujourd'hui répandu sur tous les continents, le thé.

Le cannabis était bien connu des Scythes, si l'on en croit l'historien grec Hérodote (450 av. J.-C.), qui décrit une séance de fumigation collective entraînant l'hilarité des participants. Depuis l’Antiquité, les peuples germaniques cultivaient également le chanvre, au moins pour ses fibres — utilisées pour la fabrication de vêtements et de cordes pour les bateaux. Ainsi, à Eisenberg dans le Thuringe, des fouilles archéologiques ont mis à jour des semis de chanvre à côté de poteries datant de 5500 av. J.-C. La découverte de la plus ancienne pipe du monde dans des tombeaux datant de l'âge de bronze (1500 av. J.-C.), à Bad Abbach (Bavière) tend à prouver que l'absorbtion de psychotropes sous forme de fumée inhalée en Europe est bien antérieure à la découverte du Nouveau-Monde. Cela ne suffit pas pour autant à affirmer que le cannabis était fumé par les anciens Germains. On sait en revanche que, avant la promulgation de la « loi de pureté » (Rheinheitsgebot), en 1516, sous l'influence de la moniale Hildegarde de Bingen, nombreuses étaient les plantes aromatiques et psychotropes qui servaient à renforcer le goût et les effets de la bière. Le chanvre a de fortes chances d'en avoir fait partie.

Des gravures sur cuivre du XIXe siècle montrent que les berges du Rhin étaient, à l’époque, couvertes de grands champs de chanvre. Le plant de chanvre doit subir une décomposition partielle afin que les fibres de cellulose se désolidarisent des fibres de lignine : c'est le rouissage. L'immersion des pieds dans l'eau permet d'accélérer ce processus.

Dans les Caraïbes anglophones, le cannabis fut importé avec la main-d’œuvre indienne qui amena des plants de chanvre indien. Le nom donné aux indiens fut collie et, aujourd’hui encore, les rastas utilisent, entre autre, le terme coolie weed pour évoquer le cannabis.

En 1844, Théophile Gautier et le docteur Jacques-Joseph Moreau fondent le club des Hashischins. Voué à l’étude du cannabis, il sera fréquenté par de nombreux artistes français.

Au XIXe siècle, le cannabis était utilisé en Occident pour ses vertus médicinales (voir plante médicinale), sous forme de teinture (extrait alcoolique). Il fut utilisé pour soigner les douleurs menstruelles de la reine Victoria, et était même vendu dans le commerce aux États-Unis. Dans la vieille Europe comme aux États-Unis, cette teinture était l'un des médicaments les plus vendus par les officines de pharmacie. Mais, à la fin du XIXe siècle, son succès commença à décliner, suite à l’apparition et au fort succès d’autres médicaments tels que l’aspirine. Ernst Jünger, en 1920, tombe par hasard sur un vestige de cette époque sous la forme d'un vase de porcelaine portant la mention « Extr. Cannabis ». Il raconte cet épisode dans son essai Approche, drogues et ivresse.
Affiche diffusée par le Federal Bureau of Narcotics, à la fin des années 1930, et pendant les années 1940, époque de diabolisation du produit (la marihuana est un narcotique puissant qui pousse au meurtre, à la débauche et conduit à la mort).
Affiche diffusée par le Federal Bureau of Narcotics, à la fin des années 1930, et pendant les années 1940, époque de diabolisation du produit (la marihuana est un narcotique puissant qui pousse au meurtre, à la débauche et conduit à la mort).

Le chanvre arriva aux Amériques avec la colonisation. George Washington, premier président des États-Unis d'Amérique, en cultivait sur sa plantation, comme en témoigne son journal. En 1794, il encouragea sa culture auprès de ses concitoyens dans un discours : Make the most you can of hemp seed and sow it everywhere. Les Mexicains le cultivaient également et commencent l'exportation des sommités fleuries vers le Texas dès 1910. C'est d'ailleurs aux Mexicains que l'on doit l'usage du mot marijuana qui, à l'origine, désignait une cigarette de mauvaise qualité.


Durant les années 1920 et 1930, le cannabis envahit le marché noir, devenant très populaire. Face à ce succès grandissant, les autorités mettent en place des campagnes dites de sensibilisation avec des slogans tel que Marijuana is Devil sur fond de diable enflammé, et la police des stupéfiants de la Nouvelle-Orléans imputent aux consommateurs 60 % des crimes commis dans la ville. Les journaux reprennent et répandent l'idée que violence et cannabis sont liés, à travers le pays et, en 1937, une loi prohibant la possession et l’usage est promulguée.

L’accroissement dans le reste du monde de la production et du trafic de marijuana sont alors préoccupants et plusieurs gouvernements commencèrent à s’inquiéter. En 1925, la convention internationale de Genève est acceptée par la plupart des pays mondiaux s’engageant à se battre contre le trafic de drogue. Parmi eux, la Turquie et l’Égypte voulaient inclure la marijuana dans la convention disant que sa consommation était à la base de la débilité humaine.

Bien qu’il ait probablement été utilisé commme drogue occasionnelle durant son histoire, c'est parmi la scène jazz des années 1950 qu’on le vit devenir populaire, avec une forte augmentation de son utilisation pendant les années 1960.

Le reggae, popularisé par Bob Marley, est aussi un vecteur direct d'idées pro-cannabis et le fait que ce courant musical soit aujourd'hui mondialement connu contribue à faire rayonner la marijuana malgré une législation défavorable de la plupart des pays.

2005 marque cependant un tournant majeur dans l'histoire du cannabis puisque, avec l'assouplissement de la législation de certains pays - notamment le Canada et le Royaume-Uni -, la prescription médicale de THC étant autorisée, des laboratoires pharmaceutiques ont pour la première fois acheté officiellement du cannabis au Maroc - pays évalué par l'ONU comme le principal producteur
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MessageSujet: Re: le cannabis   le cannabis Horloge017pvMar 9 Jan - 17:27

Ouais mais voilà .. Il n'y aurait pas plein de kékés sur terre je dirais liberalisez le cannabis .. Mais je pense qu'il doit etre libre medicalement parlant, suivi par un medecin .. Mais sinon nan.
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